Le Flying Crapot’s Moto Club se met au parfum !
Pour cette sortie mensuelle d’octobre 2016, nous avons rendez-vous à 8h30 à notre boulangerie désormais habituelle à Mougins.
Aujourd’hui nous avons un programme chargé avec horaire un peu contraint car Jean Marc nous a préparé une petite surprise :
nous sommes attendus vers 17h à Grasse pour une visite privée de la parfumerie Galimard !
Avec un tel programme, de nombreux participants se pressent sur le parking pour les traditionnelles embrassades du matin : Mumu et Jean-Marc, Isabelle et François, Nadine et Maurice, Odjile et DEnis, David, Nicolas L. Nicolas G., Nadège et Jean-No,Cédric, Yves, Xavier, Eric N., Karine, Frédéric, Philippe, Laurent, Ludovic, deux invités (Sylvie et Edmond) et moi.
Pour ce qui me concerne plus particulièrement, c’est l’occasion de présenter pour la première fois à mes amis Crapot’s ma nouvelle moto, une Yamaha MT10 toute neuve (je ne l’ai que depuis 2 jours… et elle n’a encore qu’une petite centaine de kilomètres au compteur).
Voici venu le temps du départ. Nous rejoignons l’autoroute pour un petit parcours de liaison jusqu’au Muy. Avec moto et pilote tous les deux en rodage, ce sera aujourd’hui pour moi dans la roue de notre Président, ouvreur du jour !
Après ces quelques kilomètres d’autobeurk, heureusement vite passés, nous prenons avec grand plaisir les magnifiques routes du Var, en direction de Villecroze où à lieu la petite pause café de milieu de matinée. Merci à toi, Laurent, pour nous avoir offert cafés et autres boissons chaudes !
Puis nous repartons en direction d’Aiguines. Nous nous arrêtons sur un emplacement qui surplombe le village et le lac, et qui nous offre ainsi une vue panoramique absolument fantastique.
Après un picnic qui permet comme à chaque sortie de se retrouver pour échanger les uns avec les autres dans l’amitié et la bonne humeur, nous reprenons la route par les Gorges du Verdon, une route dont on ne se lasse pas tellement elle est belle et comme qui dirait faite tout exprès pour les motards.
Comme toujours dans ces cas là, nous faisons d’abord une petite halte sur le parking qui fait face au pont de l’Artuby. Et une fois encore nous admirons le courage (l’inconscience) de ceux qui se lancent dans le vide depuis le parapet du pont pour une longue chute en direction de la rivière là bas tout au fond, chute suivie d’interminables oscillations au bout d’une élastique dont on espère à chaque fois qu’elle est bien solide et en bon état. Nous ne sommes pas les seuls à être impressionnés par ce spectacle comme en témoignent les petits cris d’horreur ou d’émerveillement que pousse à chaque saut une jeune fille, assise à côté de nous sur la berge du ravin !
Le café de mi journée sera pris dans un bar de l’autre côté du pont. Le service est un peu long mais comme toujours l’ambiance est sympa et les blagues fusent… Ainsi certains commentent les multiples passages de quelques vautours qui volent au-dessus de nos têtes : et voilà, ils passent, ils repassent, ils « rapaces »….
Aie aie aie, nous avions jusqu’à présent réussi à éviter la pluie mais il semble qu’elle veuille nous rattraper. Aussi nous nous remettons vite en selle et partons vers Villaute pour un arrêt ravitaillement essence.
Puis nous repartons vers Escragnolles et Saint Valliey de Thiey… mais qui, cette fois, ce ne sera pas l’endroit de notre séparation ! Au contraire nous poursuivons vers Grasse, à une allure finalement suffisamment soutenue pour nous permettre d’arriver à notre rendez-vous avec pas mal d’avance.
Nous y sommes alors accueillis avec beaucoup de chaleur et d’amitié par toute l’équipe de la parfumerie Galimard.
Nous démarrons la visite avec une Monique, une guide expérimentée qui connait merveilleusement bien toute l’histoire de l’industrie de la parfumerie sur Grasse et tous les secrets de la fabrication de ces parfums qui font participent au renom de notre magnifique région dans le monde entier. Découvrirons-nous tous les secrets de Galimard ? Je ne crois pas. Il restera bien certainement quelques pièces du fond auxquelles nous n’aurons pas accès….
Chantal Roux, la maitresse de lieux, nous rejoint et elle nous fait revivre avec une belle éloquence la grande épopée de sa famille, du patriarche fondateur de l’entreprise à la génération actuellement aux commandes de l’entreprise. Puis nous nous partageons entre un petit buffet d’accueil avec boissons, gâteaux et sucreries, et un atelier parfum.
Eh oui, sous la houlette de dames très expertes, chacun de nous est convié à concocter son propre parfum à partir des nombreux ingrédients mis à disposition sur les tables. Chacun y va de sa pipette dans les différents petits flacons et façonne son mélange unique. Merci, Mesdames, pour votre infinie patience et votre immense gentillesse. Non seulement vous nous avez prodigué des conseils, mais vous êtes même allées jusqu’à nous dire que nos compositions étaient bien faites et sentaient bon… Gentilles flatteuses !
Avant de nous séparer, une petite photo de groupe est prise devant le perron de la parfumerie. Clou du spectacle, ma moto ! Non, je plaisante. En fait la beauté était bien représentée ce jour là, mais c’était grâce à la présence de la charmante Paméla, ambassadrice parfums Galimard. Il fallait bien là mettre à l’honneur, donc bien devant, au centre de la photo… sur ma moto !
La fin d’après-midi est arrivée et il est temps de nous séparer. Ce fut une journée bien remplie, tant sur le plan du roulage que par les bons moments passés tous ensemble pendant les pauses café/déjeuner, puis enfin et surtout cette extraordinaire visite de la parfumerie Galimard.
Un immense merci, Madame Chantal Roux, à vous et toute votre équipe, pour la qualité et la gentillesse de votre accueil. Vous avez participé ce jour là à l’inscription d’un magnifique souvenir de plus au livre d’or du FCMC. Que grâce vous en soit rendue !
Merci aussi à Jean-Marc de nous avoir organisé cette belle surprise !!!
Vivement début Novembre pour de nouvelles aventures motardes. Il parait que nous irons faire un tour du côté de la ville du Bailli de Suffren !
A bientôt donc les Crapot’s !
Amitiés à toutes et tous,
Alain P.